JEUNE ET INNOCENT, d'ALFRED HITCHCOCK

JEUNE ET INNOCENT, d'ALFRED HITCHCOCK, Angleterre 1937, 1h22, VO.

                                            Mardi 31 mai à 20h30 précise. 

Une dispute, la nuit : un homme est giflé par une femme. L'homme est affublé d'un tic : il cligne des yeux. Le lendemain, sur une plage déserte, un jeune homme, Robert, aperçoit dans l'eau le cadavre d'une femme et part chercher du secours. Mais il semble que Christine, qu'il connaissait, ait été tuée avec la ceinture de son pardessus. Celui-ci a disparu et tout semble accuser Robert...

C'est un régal. De précision, d'humour et d'élégance. Et tout y est : la caméra montée sur grue comme dans Notorious, la poursuite comme dans La Mort aux trousses, la fausse preuve comme dans Frenzy. Bref, il faut voir Jeune et Innocent : les occasions de jubilation et d'euphorie se font rares. (Claude-Marie Tremois, in Télérama).