mardi 26 décembre 2017

COURTS MÉTRAGES DU 27/12 AU 02/01/2018

COURT METRAGE ENFANT : Boo Moon, Lizzy Sparber, 7,43 mns



L'extracourt présente ce court métrage jeunesse (Cliquez !)




COURT METRAGE ADULTE : TOURETTE ET PERONE, J et  G PLuvinage, 3.24


SANTA ET CIE

SANTA ET CIE, de Alain CHABAT, France 2017, 1h35


Mercredi 3/01 à 14h30, Samedi 6/01 à 15h00



A trois jours de Noël, les 92.000 lutins de Santa Claus (plus connu sous le nom de Père Noël) sont malades. La livraison annuelle des jouets semble compromise. Santa doit donc venir immédiatement sur terre, à Paris, pour trouver des médicaments...
Alain Chabat confirme son talent avec cette comédie régulièrement inspirée (Fiches du cinéma).
Dans ce conte de Noël, Alain Chabat retrouve son grain de folie. (Télérama)





DIANE A LES EPAULES, de Fabien Gorgeart

DIANE A LES EPAULES, de Fabien GORGEART, France 2017, 1h27


Vendredi 29/12 à 20h45, Samedi 30/12 à 18h00


Une jeune femme intrépide accepte d'être la mère porteuse de ses meilleurs amis. C'est alors qu'elle tombe amoureuse de son électricien...Un premier film subtil sur la parentalité, l'amour et l'amitié, porté par Clothide Hesme lumineuse (Fiches du cinéma).
Une comédie pétillante sur la GPA. Dans les dernières, et très belles séquences, cette comédie romantique pas comme les autres flirte même avec le mélodrame. Mais un mélodrame qui n'aurait pas peur du farfelu (Télérama).



LE BRIO, de Yvan ATTAL

LE BRIO, de Yvan ATTAL, France 2017, 1h35


Vendredi 29/12 à 14h30, Vendredi 29/12 à 18h15, Samedi 30/12 à 20h45, Mardi 2/01 à 20h45. 


Pierre Mazard, professeur de droit à Assas, cynique et connu pour ses provocations racistes, doit former Neïla, une jeune banlieusarde choquée par son comportement, à un concours d'éloquence. 
Bonne surprise que cette comédie anti préjugés et pro-intégration, où l'action nait du verbe, entre une rhétorique vieille France et la verve des jeunes de quartier. Face à Camélia Jordana, définitivement actrice, Daniel Auteuil fait des étincelles. (Télérama)

ENCORE UNE SÉANCE !

LE SENS DE LA FETE, de Eric Toledano et Olivier Nakache, France 2017, 1h57


Jeudi 28/12 à 20h45


Décidément le succès, de ce qu'il faut bien considérer comme la meilleure comédie de l'année, est inépuisable. Aussi, en cette période de fêtes, quoi de plus légitime qu'une nouvelle séance pour Le sens de la fête. A voir et à revoir. Et surtout à ne pas manquer. 


COCO, de Lee Unkrich

COCO, Dessin animé de Lee Unkrich, USA 2017, 1h49, VF


Mercredi 27/12 à  14H30, Samedi 30/12 à 15h00, Mardi 2/1 à 14h30


Propulsé dans " le monde des ancêtres " un gamin découvre ses origines. Oubliez les tombes grisâtres et les tristes pluies de la Toussaint. Au Mexique, le jour des morts est une fête : une débauche d'ornements somptueux et de teintes fleuries. Un périple vivifiant. (Télérama)



mardi 19 décembre 2017

COURTS MÉTRAGES DU 21 AU 26 DÉCEMBRE 2017

COURT MÉTRAGE ADULTE  : 14, de Juliette Coutellier, 7'. 






COURT MÉTRAGE ENFANT : LA MOUFLE, de Clémentine Robach, 8,07' 




AU REVOIR LA-HAUT, ENCORE UNE SÉANCE !

AU REVOIR LA-HAUT, de Albert Dupontel, France 2017, 1h57


Samedi 23/12 à 18h00


Dans les tranchées de 14-18, le fils d'un grand industriel sauve la vie d'un comptable mais reste défiguré. Officiellement mort, il va monter avec son nouvel ami une arnaque aux monuments aux morts. Sans savoir que leur ancien est à la tête d'un projet similaire à plus grande échelle...
En adaptant le best-seller de Pierre Lemaître (Goncourt 2013), Dupontel se lance dans une saga plus ambitieuse en termes d'échelle que ses films précédents (9 mois ferme). Cette fresque est doublée d'une ode aux marginaux et d'un avertissement contre les méfaits d'un capitalisme naissant, mais écrasant déjà les laissés pour compte. (Revue V.O)

L'ETOILE DE NOEL, dessin animé de Thimothy Reckart

L'ETOILE DE NOEL, de THIMOTHY  RECKART, USA 2017, 1h20, VF


Samedi 23/12 à 15h00, Mardi 26/12 à 14h30


Un petit âne courageux rêve d'une  vie meilleure loin du train-train quotidien de son village. Un jour, il se décide à faire équipe avec une brebis qui a perdu son troupeau et une colombe aux nobles aspirations. Rejoint par trois chameaux déjantés, ils suivent l'étoile et vont devenir les héros les plus méconnus de la plus belle histoire jamais racontée : celle du premier Noël.   

LE MUSÉE DES MERVEILLES, de TOOD HAYNES

LE MUSÉE DES MERVEILLES, de TODD HAYNES, USA 2017, 1h57, VO et VF


  En VO : Vendredi 22/12 à 20h45 et Mardi 26/12 à 20h45                                        En VF  : Dimanche 24/12 à 14h30


A cinquante ans de distance (1927 et 1977), deux enfants sourds, Ben et Rose, font l’expérience de l’immersion dans New-York, en partant à la recherche, pour l'une de sa mère et pour l'autre de son père. Ces récits parallèles se situent à deux périodes clés de la vie artistique. 1927 est la dernière année du cinéma muet. Le parlant va enlever une part d'innocence à l'art cinématographique, comme, à contrario, en 1977, l’émergence de la musique punk sonnera le retour à une forme d'innocence musicale. Ces deux dates font indéniablement sens pour Tood Haynes qui nous livree une reconstitution fétichiste de ces deux périodes. la découverte de la vie new-yorkaise à travers les yeux de Ben est époustouflante. (Fiches du cinéma)
Une fresque féerique et émouvante. (Télérama)

MARYLINE, de Guillaume GALLIENNE

MARYLINE, de Guillaume Gallienne, France 2017, 1h47


Jeudi 21/12 à 20h45, Vendredi 22/12 à 18h15, Samedi 23/12 à 20h45, Dimanche 24/12 à 17h00


Élevée dans un milieu modeste, Maryline monte à Paris pour devenir comédienne. Confrontée aux humiliations, la jeune provinciale sombre dans la dépression. Pourtant, elle est dotée d'un sens inné du jeu...
Guillaume Gallienne (Les garçons et Guillaume, à table !) dissèque les sentiments d'une femme obsédée par son désir inassouvi de transfiguration par le cinéma. La chenille finira par devenir papillon. Le propos, sûrement autobiographique, est n peu appuyé. Mais Adeline d'Hermy embrase l'écran. (Le Canard enchaîné)

mardi 12 décembre 2017

COURT-MÉTRAGE DU 14 AU 18 DÉCEMBRE 2017

FUCK L'AMOUR, DE FRANCOIS ZABODETA,

 6 MINUTES. 





Vieux films super 8, souvenir douloureux des parents.....

LA MÉCANO DE LA GÉNÉRALE, DE BUSTER KEATON et CLYDE BRUCKMAN

LA MÉCANO DE LA GÉNÉRALE, de BUSTER KEATON et CLYDE BRUCKMAN, USA 1926, 1h20 


Mardi 19/12 à 20h45, le film tout de suite


Le cheminot Johnnie Gray partage sa vie entre sa fiancée Anabelle et sa locomotive. En pleine guerre de Sécession, il souhaite s'engager dans l'armée sudiste, mais celle-ci estime qu'il se montrera plus utile en restant mécanicien sur sa locomotive. 
Fort justement considéré comme le chef d'oeuvre de Keaton, voire du cinéma burlesque, ce film repose sur des faits authentiques. Un souci scrupuleux de vérité historique et une mise en scène d'une ampleur digne de Griffith lui donnent un accent d'authenticité rare dans le genre. La parfaite rigueur du scénario confirme la conception esthétique du cinéaste : " Un film comique s'assemble avec la même précision que les rouages d'une montre ". C'est l'oeuvre aussi bien d'un architecte que d'un chorégraphe. Si les gags se répondent de l'une à l'autre partie, leur comique se renforce de subtiles variations qui ne font qu'augmenter notre plaisir à chaque vision. (Joel Magny)


JALOUSE, de DAVID et STÉPHANE FOENKINOS

JALOUSE, de David et Stéphane FOENKINOS, France 2017, 1h42. 

Vendredi 15/12 à 20h45, Samedi 16/12 à 18h00, Dimanche 17/12 à 17h00, Lundi 18/12 à 20h45


Nathalie, professeur de lettres divorcée, passe quasiment du jour au lendemain de mère attentionnée à jalousie maladive. Si sa première cible est sa ravissante fille de 18 ans, Mathilde, danseuse classique, son champ d'action s'étend bientôt à ses amis, ses collègues, voire ses voisins...
C'est une comédie à l'italienne : grinçante, volontiers mélancolique, elle s'attache, avec un beau sens du détail quotidien, à un " monstre " féminin, auquel Karin Viard prête ses traits si familiers. Qui mieux que cette comédienne, sachant exprimer dans une même scène le froid et la tendresse, pour faire rire sur un sujet pas drôle, la dépression à cet âge charnière où l'on peut soudain se sentir désemparée, avec des enfants qui ont grandi, des parents déjà disparus, et aucune épaule sur laquelle s'appuyer ? (Télérama)

LA VILLA, de ROBERT GUEDIGUIAN

LA VILLA, DE ROBERT GUEDIGUIAN, France 2017, 1h47


Jeudi 14/12 à 20h45, Vendredi 15/12 à 14h30, Vendredi 15/12 à 18h15, Samedi 16/12 à 20h45, Dimanche 17/12 à 14h30


Dans une calanque près de Marseille, au creux de l'hiver, Angèle, Joseph et Armand, se rassemblent autour de leur père vieillissant. C'est le moment pour eux de mesurer ce qu'ils ont conservé de l'idéal qu'il leur a transmis., du monde de fraternité qu'il avait bâti dans ce lieu magique, autour d'un restaurant ouvrier dont Armand, le fils aîné, continue de s'occuper. Lorsque de nouveaux arrivants venus de la mer vont bouleverser leurs réflexions...
Toute la famille Guédiguian est là. C'est à dire tous ses acteurs depuis Marius et Jeannette, et même avant. C'est à la fois une famille dans le film, et c'est la famille avec laquelle Guédiguian nous offre, de film en film, et aujourd'hui encore, une belle histoire, avec ses convictions, sa générosité, et sa foi en un avenir meilleur sous réserve de se battre pour davantage de solidarité et de justice sociale. 

mardi 5 décembre 2017

COURT MÉTRAGE DU 7 AU 12 DECEMBRE 2017

J'ATTENDRAI LE SUIVANT, de PHILIPPE ORREINDY, 4'




CINE P'TITS GONES

LES NOUVELLES AVENTURES DE GROS-POIS ET PETIT-POINT, Film d'animation de Uzu et Lotta, Suède 2017, 44 minutes, VF.


Dimanche 10/12 à 10h30, le matin bien entendu ! 


Un programme délicieux et malicieux pour les tout-petits, qui n'avaient pas pu être projeté en mars dernier comme annoncé. Cette fois, Gros-Pois et Petit-Point seront bien là avec 6 petites histoires: 

En cuisine - La tête à l'envers - C'est contagieux - Le marchand de souliers - La Cueillette - Tellement disco !

JEUNE FEMME, de LEONOR SERRAILLE

JEUNE FEMME, de LEONOR SERRAILLE, France 2017, 1h37


Vendredi 8/12 à 20h45, Samedi 9/12 à 18h00, Lundi 11/12 à 20h45


Un chat sous le bras, des portes closes, rien dans les poches, voici Paula, de retour à Paris, après une longue absence. Au fil des rencontres la jeune femme est bien décidée à prendre un nouveau départ. Avec panache. 
" La genèse du film, c'était de faire le portrait d'une femme singulière, confrontée à la solitude dans une grande ville, le temps d'un hiver. J'ai voulu aborder l'amour comme une soif à épanchern un puits à remplir, un tout ou un rien, et qu'entre ce tout et ce rien flottent au même niveau l'espoir et un penchant pour le vide, la chute, l'implosion". (Léonor Seraille).

Camera d'or au Festival de Cannes. 


LA MÉLODIE, de RACHID HAMI

LA MÉLODIE, de RACHID HAMI, France 2017, 1h42


Vendredi 8/12 à 14h30, Vendredi 8/12 à 18h15, Dimanche 10/12 à 17h00, Mardi 12/12 à 20h45


A bientôt 50 ans, Simon est violoniste émérite, mais au creux de sa carrière et de sa vie. Il atterrit dans la classe-orchestre de 6è d'un collège parisien, dirigée par le bienveillant Monsieur Farid. Ses méthodes d'enseignement rigides rendent ses débuts laborieux et ne facilitent pas ses rapports avec des élèves difficiles. Parmi eux, il y a Arnold, un enfant à la timidité maladive, mais  passionné et très doué pour le violon...
Lz scénario aurait pu devenir franchement lourd. Mais le réalisateur parvient, grâce à sa mise en scène limpide et discrète, à convaincre que la musique adoucit les mœurs et peut éclairer les visages les plus butés. Il sait surtout filmer les enfants  : quel sens du casting et quel naturel de la part de ces jeunes interprètes. (Télérama)
Un film qui a foi dans l'école et milite pour que l'art y trouve sa place. C'est aussi un " feel good movie " : un film qui fait du bien. 

D’APRÈS UNE HISTOIRE VRAIE, DE ROMAN POLANSKI

D' APRÈS UNE HISTOIRE VRAIE, de ROMAN POLASKI, France 2017, 1h40.


Jeudi 07/12 à 20h45 à 20h45, Samedi 09/12 à 20h45, Dimanche 10/12 à 14h30


Après un livre intime à succès, une écrivaine voit débarquer dans sa vie une femme une jeune femme mystérieuse. 
Angoisse de la page blanche, hésitation fantastique entre réalité et fiction, schizophrénie créatrice : ces thèmes avaient tout pour retenir l'attention de Polanski qui adapte avec netteté le roman " D'après une histoire vraie " de Delphine de Vigan. (Le Canard enchaîné)