mardi 29 juin 2021

COURT METRAGE DU 1° AU 6 JUILLET 2021

 LA MORT DU CINEMA, de Vincent BARROT.


En deux mots

Le plus beau casting de l'année, projeté dans la plus belle salle de l'univers !

Synopsis

Dans une ancienne salle de cinéma délabrée, prête à fermer, la Cinémamecque, Jean-Luc Godard, Stanley Kubrick, Agnès Varda et d'autres cinéphiles assistent à la dernière séance de projection d'un film en pellicule, sur grand écran. Pour conjurer la mort du cinéma, les frères Bogdanoff imaginent un cinéma extraterrestre avec projection sur le grand écran de la voie lactée. La mort du cinéma serait-elle une mort joyeuse et une reconquête du temps et de l'espace ?

Pour aller plus loin

Un nouveau tome des aventures cinéphiles de la Cinémamecque, signées par l’homme-orchestre Vincent Barrot. Ce dernier écrit, réalise, anime, crée les modelages et les voix ! Un travail de titan, créé en stop-motion, soit l’animation en volumes, avec des images filmées plan par plan.
Plus d’une vingtaine de courts constituent le corpus de cet hommage au 7e art, avec des références en pagaille, des trouvailles et beaucoup d’humour ! On assiste ici à une réflexion chorale artistique qui touche finalement au cosmique : “Plus on pense cinéma, plus l’espace s’agrandit”. La salle se décolle de la Terre et part en orbite dans les étoiles, comme la maisonnette du film d’animation de Pixar, Là-haut, gagnait le ciel il ya une dizaine d’années.
Vincent Barrot aime les joyeux mélanges et mêle, dans sa galerie de marionnettes, les personnalités et les créatures légendaires. Nosferatu est en cabine, Dark Vador, Elephant Man et E.T. sont au sein de l’assistance. En animateur : le regretté Jean Douchet ; en commentateurs cosmiques : Igor et Grichka Bogdanoff ; en clin d’œil : Albert Einstein ! Et une ribambelle de cinéastes : Chaplin, Keaton, Ford, Renoir, Hitchcock, Satyajit Ray, Kubrick, Truffaut, Godard, Duras, Varda, Pialat, Carpenter, Lynch, Bigelow, Tarantino… Le cinéma n’est pas mort, loin de là !

 

Générique

Production Cinemamecque




Scénario Vincent Barrot Musique Olivier Orient

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