mardi 28 janvier 2020
COURT MÉTRAGE DU 30/01 AU 04/02 2019
SLURP, de Florent Hill, 4.14 mns
En deux mots
Un film tendre et intergénérationnel.
Synopsis
Un petit garçon essaie de corriger une mauvaise habitude que sa grand-mère a prise à table.
Pour aller plus loin
Également acteur, Florent Hill a ainsi été remarqué dans plusieurs courts métrages, puis dans des fictions télévisées. Dans Slurp, il est auteur, producteur et réalisateur, sans s’être cette fois attribué de rôle. Son film repose sur une intrigue simple, à hauteur d’enfant, celle du héros, témoin répété d’ une habitude alimentaire particulière de sa grand-mère, qui ne peut s’empêcher de lamper bruyamment sa soupe, au grand dam des parents du petit garçon.
L’action est simple, centrée sur le moment du repas, et quelques moments partagés entre l’aînée et son petit-fils. Les décors sont réduits à la maison, parfois vue de l’intérieur, parfois de l’extérieur. La narration épouse la pensée du gamin, qui commence sur la constatation de la gêne occasionnée par le défaut de sa mamie, puis se poursuit sur la réflexion intérieure du gosse, avant de virer finalement à l’action, pour une pirouette finale tordante, sur le mode “tel est pris qui croyait prendre” où l’aïeule n’a pas dit son dernier “slurp” !
Il est à noter que l’enfant et la grand-mère sont interprétés par des membres de la propre famille du réalisateur : Colin Hill et Fanny Dela
SEANCE CINE P'TITS GONES
LA CABANE AUX OISEAUX, Programme de courts métrages de Celia RIVIERE, France / 2019 / 42 mns
Dimanche 02/02 à 10h30 le matin.
Neuf histoires de la littérature pour la jeunesse rassemblées pour 42 minutes d'images animées, virevoltant à tire d'ailes. Une immense réussite sur le plan visuel aussi éclatante qu'un oiseau qui aurait mangé une étoile. (Fiches du cinéma)
UNE VIE CACHEE, de Terrence MALICK, USA / 2019 / 2H53 / VO
Vendredi 31/01 à 20h15 , Samedi 01/02 à 17h, Dimanche 02/02 à 14h, le film de suite, Mardi 04/02 à 20h15
Inspiré de faits réel. Franz Jägerstätter, paysan autrichien, refuse de se battre aux côtés des nazis. Reconnu coupable de trahison par le régime hitlérien, il est passible de la peine capitale. Mais porté par sa foi inébranlable et son amour pour sa femme et ses enfants, Franz reste un homme libre.
Le récit d'un idéal pacifiste touchant au sublime. (Le Progrès)
Ode à la terre, à l'amour, à l'élévation spirituelle, ce biopic conjugue l'idéalisme éthéré avec la sensualité de la nature. (Le petit Bulletin)
Comme toujours la caméra de Terrence Malick nous offre des images d'une beauté fulgurante à couper le souffle.
Attention, vu la longueur du film, les horaires sont inhabituels. Et le dimanche à 14h, la séance commencera tout de suite par le film. Soyez à l'heure !

LA SAINTE FAMILLE, de Louis-do de LENCQUESAING, France / 2019 / 1h30
Vendredi 31/01 à 18h15, Samedi 01/02 à 20h45, Dimanche 02/02 à 17h15
Jean, universitaire réputé, est nommé ministre de la famille, alors même qu'il est perdu dans les événements qui secouent la sienne...
Loin d'être un énième film " bourgeois " sur les petits tracas existentiels de gens bien nés, cette comédie dramatique jette une lumière particulière , poudrée et pénétrante, sur le mystère de la cellule familiale. Une jolie chronique dans la veine de Claude Sautet. (Télérama)
La Sainte Famille entraîne le spectateur dans son charme troublant et se distingue par sa douce extravagance. (Positif)

LE MIRACLE DU SAINT INCONNU, de ALAA EDDINE ALJEM, Maroc / 2020 / 1h40 / VO
Jeudi 30/01 à 20h45, Lundi 03/02 à 20h45
Après son braquage, Amine est vite arrêté. Mais il a eu le temps de planquer le sac rempli de billets en plein désert marocain, dans une fausse tombe. Lorsqu'il retrouve sa cache, elle est entourée d'un enclos gardé et d'une chapelle qui commémore " le saint inconnu ", vénéré par le village tout proche. ..
Comique et rêveur, ce film observe la vie immobile dans un bled des sables. Un barbier indiscret, un médecin désabusé, un cultivateur misérable. L'immensité du désert rend fascinant et mystique le moindre événement. (Le canard enchaîné)
L'auteur chronique aussi, mine de rien, la réalité d'un pays obsédé par les croyances, et tiraillé entre tradition et modernité. Une jolie surprise. (Télérama)
mardi 21 janvier 2020
COURT MÉTRAGE DU 22 AU 28 JANVIER 2020
La TOILETTE DE LA TOUR EIFFEL, Anonyme, 3,57 mns
LA TOILETTE DE LA TOUR EIFFEL
Anonyme
En deux mots
Des images étourdissantes d'une incroyable définition pour ce film presque centenaire...
Synopsis
Le travail des ouvriers affairés au nettoyage et à la peinture de la Tour Eiffel.
Pour aller plus loin
Datant de 1924, ce documentaire de près de quatre minutes reste anonyme en ce qui concerne sa réalisation. Il rend hommage à la dame de fer construite sous l’impulsion de l’ingénieur et industriel Gustave Eiffel, pour l’Exposition universelle de Paris de 1889 (et si elle faisait 312 mètres à l’origine, elle en mesure aujourd’hui 324, en comptant les antennes à son sommet).
Le film, restauré par Lobster, présente le travail de restauration de peinture effectué par des dizaines d’hommes, affublés de pots, de brosses et de pinceaux. Présentés tels des équilibristes et des acrobates, ils sont suspendus à des poulies et câbles, bien loin des normes de sécurité en vigueur aujourd’hui.
La caméra accompagne les ouvriers en plan rapproché comme en plan large, en plan fixe comme en mouvement, en vue horizontale comme en plongée. On perçoit notamment des travellings verticaux ascendants et descendants, filmés depuis l’ascenseur de la tour.
Dès les débuts du cinéma, le monument avait intéressé les cinéastes pionniers. Louis Lumière, Georges Méliès, Louis Feuillade, René Clair et Abel Gance l’ont ainsi intégré à leurs visions documentaires ou fictionnelles.
LE LAC AUX OIES SAUVAGES, de Dio YINAN, Chine / 1h50 / VO
Vendredi 24/01 à 20h45, Lundi 27/01 à 20h45
Un chef de gang en quête de rédemption et une prostituée prête à tout pour recouvrer sa liberté se retrouvent au cœur d'une chasse à l'homme. Ensemble, ils décident de jouer une dernière fois avec leur destin.
Dans ce nouveau film impressionnant de beauté et de noirceur, Diao Yinan continue de brosser une Chine toujours plus démentielle et désespérée. (Fiches du cinéma)
Diao Yinan continue de réinventer le film noir en s'inspirant des maîtres hollywoodiens des années 40, tout en mettant en scène l'action à la manière de l'Opéra de Pékin. (Le canard enchaîné)
JOYEUSE RETRAITE, de Fabrice BRACQ, France / 2019 / 1h37
Vendredi 24/01 à 14h30 et 18h15, Samedi 25/01 à 17h45, Dimanche 26/01 à 17h, Mardi 28/01 à 20h45
L'heure de la retraite est enfin arrivée pour Philippe et Marilou. Ils s'apprêtent à réaliser leur rêve : partir vivre au soleil du Portugal. Au revoir le travail, au revoir la famille, au revoir les emmerdes ! Ils pensaient être tranquilles...mais leur famille a d'autres projets pour eux. Une comédie avec des acteurs qui vous feront passer un bon moment.
STARWARS : L'ASCENSION DE SKYWALKER, de J.J ABRAMS, USA/ 2019 / 2h35 / VO et VF
En VO : Jeudi 23/01 à 20h45, Samedi 25/01 à 20h45
En VF : Samedi 25/01 à 14h30, Dimanche 26/01 à 14h
Une fantastique épopée au cœur d'une galaxie lointaine, très lointaine, pour la fascinante conclusion de la saga Starwars. En effet, c'est le n°9 de la saga la plus populaire jamais réalisée, et qui avait commencé, les anciens s'en souviennent, en 1977 avec le n°4. Ensuite, il y avait eu le n°(, puis le 6, et le 1, le 2, le 3 puis le 7, le 8 et aujourd'hui voici le dernier, le 9.
mardi 14 janvier 2020
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